Non, il n’y aura pas de batailles ni de mariages dans ce blog, nous vous avons vu venir. Nous allons évoquer le travail d’équipe qui est en soi le ciment d’une entreprise, sa réputation et sa réussite. Nous pourrions même dire par métaphore que le travail est une machine de guerre qui fonctionne grâce à une cohésion d’équipe. En parlant du loup, enfin de la guerre, nous allons illustrer nos propos par des séquences du film de guerre 1917.
1) Le travail d’équipe, c’est quoi ?
En 3 caractéristiques, c’est :
- la complémentarité des compétences ;
- la cohésion entre divers intervenants ;
- la réalisation d’objectifs communs.
Bien sûr, nous tenons à rappeler que ces 3 caractéristiques ne sont pas exhaustives et que leur manière de se réaliser dépend avant tout du domaine et de l’entreprise.
2) Le travail d’équipe, une métaphore de la guerre ?
Nous allons reprendre les 3 caractéristiques et expliquer nos propos en utilisant le domaine de la guerre, car oui le travail d’équipe et la guerre peuvent être comparés.
- Chaque compétence a son utilité et peut compléter les autres compétences afin de donner la bonne recette d’un travail d’équipe réussi. Si nous prenons la guerre, la vraie (pas la guéguerre que vous déclarez à vos frères et sœurs quand ils volent vos vêtements, bon une touche d’humour au milieu d’un sujet sérieux et grave, ça ne fait pas de mal), nous pouvons déclarer que chaque compétence a son utilité. Pendant la guerre, il faut se défendre, agir face aux soldats ennemis, alors nous pouvons parler de différentes compétences telles que la stratégie, le combat, le maniement des armes, le messager, etc. Toutes ces compétences sont complémentaires pour la survie du pays en question. D’ailleurs, comme dans un travail d’équipe au sens réel, il faut se défendre parmi la concurrence et agir pour faire vivre ou survivre son entreprise.
- Dans une guerre, il est nécessaire, voire obligatoire, de garantir une cohésion entre les différents soldats et les places hiérarchiques, mais surtout de garantir une cohésion égalitaire dans une forme de “survie collective”. Cette cohésion peut se faire par le biais des besoins et buts communs, de l’entraide afin d’être plus performants, etc. C’est la même chose dans le monde du travail, il faut savoir s’entraider et avoir des besoins et buts communs afin de justifier et de réaliser cette entraide.
- Les objectifs communs sont souvent les mêmes pour les pays qui sont en guerre les uns contre les autres, les soldats restent des humains avant tout. En effet, les buts restent le fait de se protéger l’un l’autre, de survivre, de gagner la guerre ou du moins de la faire stopper…
3) Référence au film de Sam Mendes : 1917
La guerre : un travail collectif
Avant de parler de “meilleur” ou de “pire”, il est important de rappeler que la guerre repose sur le travail d’équipe. Elle mobilise des bataillons, des régiments et des alliances comme celle entre l’armée britannique et l’armée française. Dans 1917, cette collaboration est au cœur de l’histoire. La mission des protagonistes repose sur l’effort collectif : transmettre un message vital pour sauver des vies.
Le “pire” : la perte d’un élément clé
Commençons par le négatif. Dans le contexte du travail, perdre un membre essentiel de l’équipe peut être désastreux, qu’il s’agisse d’un collaborateur ou d’un dirigeant. Dans 1917, cette idée est illustrée par la mort tragique de Blake. Ce soldat, un élément clé du duo formé avec Schofield, est tué par un soldat allemand. Sa perte met en péril leur mission et souligne l’impact émotionnel et stratégique de la disparition d’un collègue.
Le “meilleur” : l’entraide pour surmonter les défis
À l’opposé, le “meilleur” aspect du travail d’équipe réside dans l’entraide. Dans 1917, cela se manifeste lorsque Blake sauve Schofield. Ce dernier, piégé sous les décombres à cause d’une mine déclenchée par un rat, est secouru grâce à l’intervention de son camarade. Cet acte de solidarité reflète la force du soutien mutuel, qui peut faire la différence dans des situations critiques.
Les missions comme moteur de collaboration
Le travail d’équipe repose aussi sur des objectifs clairs. Dans une entreprise, cela peut inclure la recherche de sujets ou la correction d’articles. Dans 1917, Schofield et Blake reçoivent une mission cruciale : prévenir le deuxième bataillon d’une attaque, qui s’avère être un piège tendu par l’armée allemande. Cette tâche, donnée par le général Erinmore, est l’élément central qui guide leurs actions.
Le message clé : écouter pour survivre
Enfin, 1917 met en lumière l’importance de l’écoute. Schofield transmet le message avec succès au général Mackenzie, qui annule l’attaque et sauve 1600 soldats. Ce moment symbolise la confiance et la coopération nécessaires pour atteindre des objectifs communs. Dans la guerre, écouter les stratégies des autres peut faire la différence entre la vie et la mort. Dans le monde professionnel, l’écoute est tout aussi essentielle pour éviter des erreurs coûteuses et maintenir une entreprise en bonne santé.
Le travail d’équipe est synonyme de cohésion et cette cohésion, nous pouvons la retrouver dans beaucoup de domaines dont la guerre dans le film 1917, en soi dans le domaine du cinéma. Eh oui, le cinéma peut faire assimiler des “règles”, des conseils à suivre afin de réussir dans un domaine et notamment le travail d’équipe. 1917 est disponible sur E-dutainment.